Facture du 15.09.2913, notification de la Cour suprême du canton de Zurich de la Chambre d'accusation du 15.09.1913, 1 quittance de mandat postal.

1 lettre manuscrite datée de Rambouillet [La Ruche], le 19.11.1913 de F. Monnier adressée à F. Roche et au camarade Franceries à la Bourse du Travail à Roanne se plaignant de calomnies le concernant de la part d'un politicien en le priant de rétablir la vérité sur son passé de militant.

1 lettre manuscrite datée de Rambouillet [La Ruche], le 28.11.1913 de F. Monnier, Service de la reliure à La Ruche, adressée au camarade Franceries à Roanne l'informant que le différend avec le politicien est résolu et que celui-ci a reconnu ses torts.

Lettre de Luigi Bertoni du 24.08.1912 au Procureur fédéral Otto Kronauer.
Lettre du Dr jour. D. Farbstein du 25.11.1912.
Lettre du Dr Jur. D. Farbstein du 25.09.1912.
2 étiquettes (saisie de brochures et affiches) du 02.08.1912.
Lettres du Dr Farbstein des 11,12 et 13.12.1912.
Lettre du Procureur du canton de Zurich du 26.08.1912.
1 enveloppe vide adressée à L. Bertoni.
Brochure "La semaine judiciaire" N°15 du 15.04.1912 (P. 234 : Fédération des typographes de la Suisse Romande sur un boycottage).
Avis de saisie du 29.03.1912, 1 enveloppe vide adressée à Joseph Cavalleri.
Avis de jugement à Joseph Cavalleri du 27.03.1912.
Exploit de demande en justice de paix du 11.03.1912 Joseph Cavalleri.

Coupures de presse, articles signé José Prat, Urania (son pseudonyme) et aussi d'autres auteurs.
Titres des périodiques identifiés:

• El Obrero moderno, Igualada 1910
• Tierra y Libertad, Barcelone 1910 (l'essentiel de ce dossier)
• El Porvenir obrero, Mahón 1912

Contient un récépissé mandat

Copies d'articles de José PRAT (1867-1932) publiés dans des périodiques en espagnol, catalan, italien, français et roumain rassemblés par Fernando GOMEZ PELAEZ, probablement dans la perspective d'un travail sur cet auteur.

Né à Vigo en 1867, José Prat milita tout d’abord dans le parti républicain démocratique fédéral avant de devenir anarchiste vers 1890. Il fut administrateur de l’École moderne de Francisco Ferrer.
En 1896, fuyant la répression qui accompagne les procès de Montjuic, il se rend à Londres où il représente les anarchistes espagnols au Congrès international des travailleurs.
Il s’installe à Buenos Aires en 1897 et collabore au périodique La Protesta.
En 1907, il contribue à la création du périodique Solidaridad Obrera de Barcelone.
Opposé à l’anarchisme individualiste et intellectualiste de Max Stirner et Friedrich Nietzsche ; critique du socialisme marxiste ; théoricien de l’anarcho-syndicalisme.
S’éloigne de l’activité militante en 1911.