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Tales para cuales

Une série de chroniques, dont l'origine et les dates ne sont pas précisées.
Ensuite on trouve les références de:

  • Fraternidad (Gijon)
  • La Libertad (Argentine)
  • Progreso (Madrid), Article intitulé « Alerta. El Catalanismo »...

El peor enemigo, nosotros

Photocopies numérotées de 100 à 131. Deux pages 116 (bis), 126 et 127.
Articles provenant notamment des périodiques suivants:

  • Progreso, Madrid 1899-1900
  • La Moralidad, Barcelone 1899
  • Fraternidad, Gijon 1900
  • Temps Nouveaux, Paris 1899
  • Campana de Gracia, 1900

Grève générale de 1902

1 convocation du juge d'instruction, 1 lettre "Déclaration" signée : Les syndicats ayant adhéré à la grève, 1 lettre signée "L'Evêque de Genève ou d'ailleurs" à restaurer, 1 mandat de dépôt, 1 fourre de coupures de presse.

Traduction réalisée en prison

3 cahiers noirs sans titres : « Les veillées de Bonaventura (Joseph Schelling) ». Les dernières pages ne sont pas de la main de L. Bertoni [Karmin ?][Qui est Bonaventura ? On a avancé des noms célèbres : Schelling, Jean Paul, F. Schlegel, Clemens Brentano, E. T. A. Hoffmann, Gotthilf Heinrich Schubert. Il a été question d'écrivains plus obscurs comme Friedrich Gottlob Wetzel ou bien August Klingemann. On a même pensé à une femme : Caroline Schlegel-Schelling. De toutes ces thèses, aucune ne se révèle absolument satisfaisante. Le poète qui se dissimula sous le pseudonyme de Bonaventura est resté inconnu (Encylopédie Universalis)].

Correspondance avec Elisée Reclus

Une grande partie de ces lettres concernent le journal Le Révolté (publié à Genève, financé en partie par Gross et Reclus). Une autre partie concerne Luigi Galleani, emprisonné à Lampedusa, que les deux compères essaient de faire évader.

Ohne Titel

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