1 Treffer mit digitalen Objekten Treffer mit digitalen Objekten anzeigen
Conflit mené par la section syndicale de Gillette "Española" - Séville
Contient les revendications de la "Seccion sindical de Gillette española de CNT"
Deux courriers de la direction de l'entreprise et le courrier d'un travailleur licencié.
Novembre - décembre 1978.
Lettre de Gobbi Torquato - Montevideo
3 cahiers noirs sans titres : « Les veillées de Bonaventura (Joseph Schelling) ». Les dernières pages ne sont pas de la main de L. Bertoni [Karmin ?][Qui est Bonaventura ? On a avancé des noms célèbres : Schelling, Jean Paul, F. Schlegel, Clemens Brentano, E. T. A. Hoffmann, Gotthilf Heinrich Schubert. Il a été question d'écrivains plus obscurs comme Friedrich Gottlob Wetzel ou bien August Klingemann. On a même pensé à une femme : Caroline Schlegel-Schelling. De toutes ces thèses, aucune ne se révèle absolument satisfaisante. Le poète qui se dissimula sous le pseudonyme de Bonaventura est resté inconnu (Encylopédie Universalis)].
Fonds Camille PISSARRO-Jean GRAVE
Une lettre de Jean Grave à Camille Pissarro, 5 octobre 1892.
Ohne Titel
Lettre de José Capellas à Subirats
Photocopie d'une lettre manuscrite datée du 4 juillet 1971.
Circulaires Comité régional du Centre et Fédération locale de Madrid
Vente des journaux
Démission du secrétaire "de relaciones" du Comité régional
A tout les militants de la Fédération locale: à propos d'un pacte signé entre le Comité national de la CNT et les centrales syndicales CSUT et SU.
D'octobre à décembre 1978.
7 cahiers bleus, écrits en prison. Cahier I : Époque romaine et des invasions - II. Époque féodale. Cahier 2 : III Fin époque féodale - IV. Époque monarchique. Cahier 3 : Sans titre, commence par : L’Ascension du poète – Lettre de congé à la vie… Cahier 4 : Sans titre, commence par : E strappeciava la sua corona d’allora… Cahier 5 : Bertoni N° 2. Cahier 6 : Sans titre. Cahier 7 1919 ( ?).
Fonds Octave MIRBEAU-Jean GRAVE
Il s'agit de sept lettres manuscrites de Jean Grave à Octave Mirbeau, datant de 1891 $ 1895. La plupart sont écrites de la prison de Sainte-Pélagie, à Paris. Voir aussi le fonds 034, Camille Pissarro-Jean Grave.
Ohne Titel